Lire n�est pas un but, mais le moyen pour chacun de remplir le cadre que lui tracent ses dons et ses aptitudes.
Si cette terre a reellement assez de place pour la vie de tous,qu'on nous donne donc le sol qui nous est necessaire pour vivre
Plus ils sont petits, plus ils cherchent � para�tre grands.
On ne pose jamais la question :
-- que peut l'homme ?
mais :
-- qu'est ce qu'il a appris ?
Tout d'abord, le cerveau des jeunes gens ne doit pas �tre surcharg� de connaissances qui leur sont inutiles dans la proportion de quatre-vingt-quinze pour cent et qu'en cons�quence ils oublieront bient�t.

C'est uniquement en France que l'on remarque aujourd'hui un accord secret, plus parfait qu'il n'a jamais �t�, entre les intentions des boursiers, intentions dont les Juifs sont les repr�sentants, et les v�ux d'une politique nationale inspir�e par le chauvinisme. Et c'est pr�cis�ment cette identit� de vues qui constitue un immense danger pour l'Allemagne. C'est pour cette raison que la France est, et reste, l'ennemi que nous avons le plus � craindre. Ce peuple, qui tombe de plus en plus au niveau des n�gres, met sourdement en danger, par l'appui qui il pr�te aux Juifs pour atteindre leur but de domination universelle, l'existence de la race blanche en Europe. Car la contamination provoqu�e par l'afflux de sang n�gre sur le Rhin, au c�ur de l'Europe, r�pond aussi bien � la soif de vengeance sadique et perverse de cet ennemi h�r�ditaire de notre peuple qu'au froid calcul du Juif, qui y voit le moyen de commencer le m�tissage du continent europ�en en son centre et, en infectant la race blanche avec le sang d'une basse humanit�, de poser les fondations de sa propre domination.
Le r�le que la France, aiguillonn�e par sa soif de vengeance et syst�matiquement guid�e par les Juifs, joue aujourd'hui en Europe, est un p�ch� contre l'existence de l'humanit� blanche et d�cha�nera un jour contre ce peuple tous les esprits vengeurs d'une g�n�ration qui aura reconnu dans la pollution des races le p�ch� h�r�ditaire de l'humanit�.

L'Etat raciste aura � r�parer les dommages caus�s par tout ce qu'on n�glige de faire aujourd'hui dans ce domaine. Il devra faire de la race le centre de la vie de la communaut�; veiller � ce qu'elle reste pure; d�clarer que l'enfant est le bien le plus pr�cieux d'un peuple. Il devra prendre soin que, seul, l'individu sain procr�e des enfants; il dira qu'il n'y a qu'un acte honteux : mettre au monde des enfants quand on est maladif et qu'on a des tares, et que l'acte de plus honorable est alors d'y renoncer. Inversement, il professera que refuser � la nation des enfants robustes est un acte r�pr�hensible. L'Etat doit intervenir comme ayant de d�p�t d'un avenir de milliers d'ann�es au prix duquel les d�sirs et l'�go�sme de l'individu sont tenus pour rien et devant lequel ils doivent s'incliner ; il doit utiliser des ressources de la m�decine la plus moderne pour �clairer sa religion; il doit d�clarer que tout individu notoirement malade ou atteint de tares h�r�ditaires, donc transmissibles � ses rejetons, n'a pas le droit de se reproduire et il doit lui en enlever mat�riellement la facult�. Inversement, il doit veiller � ce que la f�condit� de la femme saine ne soit pas limit�e par l'infecte politique financi�re d'un syst�me de gouvernement qui fait, de ce don du ciel qu'est une nombreuse post�rit�, une mal�diction pour les parents.
La plus grande sagesse du monde reste impuissante si aucune force ne la sert, ne la d�fend, ne la prot�ge, que la douce d�esse de la paix ne peut para�tre qu'au c�t� du dieu de la guerre, et que toute grande oeuvre de paix doit �tre soutenue et prot�g�e par la force.
Mais alors intervient le droit de chacun a lutter pour son existence;et ce qui est refuse a la douceur,il appartient au poing de le conquerir
Je remercie cette �poque de m�avoir rendu dur et capable d��tre dur. Plus encore, je lui suis reconnaissant de m�avoir d�tach� du n�ant de la vie facile, d�avoir extrait d�un nid d�licat un enfant trop choy�, de lui avoir donn� le souci pour nouvelle m�re, de l�avoir jet� malgr� lui dans le monde de la mis�re et de l�indigence et de lui avoir ainsi fait conna�tre ceux pour lesquels il devait plus tard combattre.